Malgré tous vos efforts et mises en pratique de nombreuses techniques, vous n’obtenez pas la santé et le bien-être que vous recherchez ? Vous n’êtes peut-être pas si loin que cela de votre but, il ne vous manque probablement qu’une petite chose mais qui fera toute la différence.
Dans les divers protocoles thérapeutiques sérieux de guérison est toujours inclus un travail psychologique et spirituel qui peut faire, parfois, des miracles sur le corps physique. De nombreux patients en ont fait l’expérience, dont par exemple (parmi tant d’autres) Françoise Bernard qui en avait rapporté le détail dans son excellent livre « Cancer, mon chemin de guérison ». (Et les résultats étant toujours incertains et individuels, une question restera longtemps posée : Qui guérit ?)
Le PARDON, peut faire partie de ce processus, et c’est ce que rapporte cet article publié par l’équipe de « The Truth about cancer » que j’ai choisi de traduire ci-dessous :

John Lewis, un membre du Congrès, de Géorgie, est un militant pour les droits civiques des Afro-américains qui a souffert de l’oppression indicible des années 1960 dans les États du sud de l’Amérique, divisée racialement. Quelques 30 années après avoir été sévèrement molesté pour avoir manifesté en faveur de l’égalité raciale, il a écrit un article d’opinion (désormais célèbre) pour le New York Times à la suite de la mort de l’un des plus violents persécuteurs politiques.
Dans l’article, Lewis a surpris toute la nation en exprimant des mots non pas haineux envers cet homme, mais porteurs de grâce et d’un pardon de grand cœur.
Au cas où vous seriez étranger à cette période particulière de l’histoire américaine, l’ancien gouverneur George Wallace était considéré par beaucoup pour être l’une des voix ségrégationnistes les plus résolues de l’époque. Comme héritage de Wallace, plutôt que la honte, Lewis (qui a grandi en voyant Wallace promouvoir la division Noirs-Blancs sur la scène nationale) a publiquement et ouvertement pardonné à son ancien rival dans l’un des journaux les plus mondialement connus… à la grande surprise du peuple américain.
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